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Du coup, le porte-bébé, on en fait quoi ?

Ma compagne et moi avons récemment acheté un nouveau vélo, un VAE Nakamura d'Intersport, et après plusieurs mois d'attente du modèle choisi avec la bonne taille de cadre, nous imaginions déjà, naïfs que nous étions, y installer notre ancien porte-bébé Hamax et parcourir les chemins forestiers à proximité. D'autant que nous avions exposé ce point lors de notre achat et que le vendeur nous avait certifié qu'il était adapté. Mais ce ne fût pas tout à fait exact...

Si le porte-bébé ne touchait certes pas les roues sans enfant, mais une fois celle-ci installée, il descendait de quelques centimètres pour se poser délicatement sur la roue de 27,5 pouces et rendre son utilisation impossible.

Problème résolu, mais un peu plus long que le transfert du porte-bébé sur le nouveau vélo du coup.

Pour tous ceux qui pourraient être concernés par ce sujet, voici une solution adaptée.

La vie rêvée

 

La vraie vie

Nota bene

- Outils utilisés : Affinity Publisher

- Photo by Himiway Bikes sur Unsplash

Je poursuis la série de textes sur photo initiée par l'article sur Le Petit Prince.

J'ai associé une photo de ma petite enfance à une table de conversion (LUTS) sous Affinity Publisher et à un texte intitulé "Je suis un mot" rédigé il y a plusieurs années.

Je suis un mot

Auteur : Mehdi Drici

Photo: Mehdi Drici

NB : Document réalisé sous Affinity Publisher

Le document est disponible en plus grande taille ici.

 

Petroglyph Dinwoody

L'art tribal ou les arts premiers me touchent particulièrement quant à leur esthétique, leur beauté, leur sens de l'abstraction. Surtout, j'ai l'impression qu'elles me parlent, qu'elles ont quelque chose à me dévoiler/voiler sur la signification de la vie. Ce pétroglyphe Dinwoody (Wyoming) représentant une figure surnaturelle est une parfaite illustration de ce sentiment.

Cette image me trouble, m'impressionne par son aspect immédiatement mystique, "lynchien" - elle n'est pas non plus sans rappeler R2D2. Je ne saurai dire si c'est la collusion entre la transe chamanique et la science-fiction qui me trouble, mais je la trouve sublime dans son attachement à la terre par les jambes-racines, l'unité dans la multiplicité de l'espace central ("abdominal" ?) et son regard profondément bienveillant.

Toujours est-il que j'ai cherché à communiquer ce sentiment pendant longtemps à travers les filtres et les options d'Affinity Photo. Après quelques heures, j'en suis ici, un résultat proche du négatif :

Et vous, qu'en pensez-vous ?

L'Alcazar de Séville constitue une source d'inspiration inépuisable tant il recèle de trésors architecturaux. Je me suis essayé en toute humilité à reproduire l'un des plafonds sous Affinity Designer pour l'utiliser comme motif.

Le modèle

La reproduction

 À partir de là, il est possible d'utiliser les possibilités des outils de DAO pour modifier les couleurs tout en conservant le motif pour l'amener vers d'autres terrains d'expression. Ainsi, j'ai utilisé des accords complémentaires que j'ai légèrement modifié pour les résultats suivants :

en l'associant à une teinte verte :

ou encore une teinte rouge :

Mais finalement, ça reste sombre, la transparence serait peut-être le meilleur choix, non ?

Le visionnage d'un MOOC Coursera de Californian Institue of the Arts (CalArts) sur le mouvement Bauhaus m'a donné envie de m'essayer et d'expérimenter des formes. J'ai voulu associer ma fille avec Le Petit Prince pour le résultat suivant.

NB : Ce document a été réalisé sous Affinity Publisher.

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